La Sentence
La Sentence
Louise Erdrich
Fidèle à ses thèmes de prédilection – la dénonciation du racisme et l’appel à la tolérance et au respect des différences -, et avec la finesse et l’humour propres à la culture amérindienne, Louise Erdrich célèbre magistralement dans ce roman le pouvoir mémoriel et libérateur des livres. Avec des vrais bouts de librairie dedans…
Un excellent cru !
Albin Michel – 23,90€
Résumé éditeur :
« Quand j’étais en prison, j’ai reçu un dictionnaire. Accompagné d’un petit mot : Voici le livre que j’emporterais sur une île déserte. Des livres, mon ancienne professeure m’en ferait parvenir d’autres, mais elle savait que celui-là s’avérerait d’un recours inépuisable. C’est le terme « sentence » que j’y ai cherché en premier. J’avais reçu la mienne, une impossible condamnation à soixante ans d’emprisonnement, de la bouche d’un juge qui croyait en l’au-delà. »
Après avoir bénéficié d’une libération conditionnelle, Tookie, une quadragénaire d’origine amérindienne, est embauchée par une petite librairie de Minneapolis. Lectrice passionnée, elle s’épanouit dans ce travail. Jusqu’à ce que l’esprit de Flora, une fidèle cliente récemment décédée, ne vienne hanter les rayonnages, mettant Tookie face à ses propres démons, dans une ville bientôt à feu et à sang après la mort de George Floyd, alors qu’une pandémie a mis le monde à l’arrêt…